Il existe une différence entre la réalité et l'expérience par un organisme de cette réalité (reprenant l'idée de Platon, Korzybski comparait ce rapport entre celui d'un objet et sa projection).
Chaque personne possède sa propre carte du monde - dont l'élaboration est déterminée par sa morphogenèse et son histoire personnelle.- Aucun modèle du monde n'est plus "vrai" ou "réel" qu'un autre.
- Les choix d'un individu sont limités par ses modèles du monde et les réponses possibles qu'il en connaît.
Des modèles donnant accès à davantage de choix, ou à des choix plus riches, peuvent se révéler fructueux.
- Chacun bâtit son modèle du monde au travers de son système nerveux.
- Beaucoup de comportements résultent de séquences et de combinaisons de patterns ou schémas neurologiques.
- Les cartes du monde sont similaires à des agencements de petits programmes neuro-linguistiques.
Beaucoup de comportements résultent de séquences et de combinaisons de patterns ou schémas neurologiques.- Des patterns neurologiques consistent en des entrées de perceptions sensorielles et sont stockées au travers de nos systèmes de représentations (VAKOG = Visuel, Auditif, kinesthésique, Olfactif et Gustatif).
La connaissance, le sens, les pensées, etc. sont le résultat de computations internes qui consistent en chevauchements (synesthésies), corrélations (équivalences comportementales) et connections (associations) entre des systèmes de représentations.- Le changement et la communication sont le résultat d'altérations ou d'accès à ces connections, corrélations ou chevauchements.
Un pattern d'association (ancres) peut être établi par une seule expérience par contraste avec une répétition linéaire.- Le langage est un Méta-modèle de nos modèles du monde.
- Le langage est un moyen de coder et de séquencer ces représentations sensorielles; il est donc une expérience secondaire (structure de surface) - un pas en decà de notre expérience primaire (structure profonde).
- La plus grande qualité d'information que nous pouvons obtenir d'une autre personne est comportementale plutôt que verbale.
Le changement vient de la libération et du déclenchement des ressources appropriées (ou de- l'activation de la ressource potentielle) pour un contexte particulier en enrichissant le modèle du monde individuel.
- Il n'y a pas d'erreurs, mais des objectifs; il n'y a pas d'échec, mais du feedback.
Les règles de changement et de renforcement d'un niveau ne seront pas semblables à celles d'un autre niveau. Ce qui est positif à un niveau peut être négatif à un autre niveau.- Il est important de trier les différents niveaux des interactions, Il est utile de séparer les comportements de l'identité - de séparer l'intention positive, fonction, croyance, etc. qui génère le comportement du comportement lui-même.
Le changement le plus écologique provient du fait de répondre à l'intention du comportement et non à l'expression du comportement lui-même.- Les gens font le meilleur choix qui leur est possible tenant compte des possibilités et capacités qu'ils perçoivent comme leur étant disponible à partir de leur modèle du monde :
Tout comportement aussi brutal, fou ou bizarre qu'il puisse sembler, est le meilleur choix pour cette personne à ce moment étant donné son modèle du monde. Si on lui fournit de meilleurs choix (dans le contexte de son modèle du monde) la personne le choisira automatiquement.- Dès qu'il existe des comportements que vous ne pouvez pas générer, il existe des réponses et donc des objectifs que vous ne pouvez pas produire.
- Si ce que vous faites ne déclenche pas la réponse que vous recherchez, alors continuez à varier vos actions jusqu'à déclencher la réponse désirée.
- Les comportements efficaces sont organisés en TOTE (Test-Opération-Test-Exit).
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5/01/2010
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